mercredi 15 février 2012

The Bang Bang Club

The Bang Bang Club était un nom principalement associée à quatre photographes actifs dans les cantons de l'Afrique du Sud au cours des années qui ont suivi le référendum national qui a conduit à la dissolution de la structure de l'apartheid.

Kevin
Carter, Greg Marinovich, Ken Oosterbroek, et João Silva étaient ces quatre associés .


Le nom de "The Bang Bang Club» est d'un article publié dans le magazine Living en Afrique du Sud. D'abord nommé The Bang Bang Paparazzi, il a été changé en "Club" parce que les membres estimaient que le mot paparazzi déformait leur travail. Le nom vient de la culture elle-même; les habitants des townships parlaient aux photographes à propos des "bang-bang", en référence à la violence exercée au sein de leurs communautés, mais plus littéralement, «bang-bang" se réfère à des coups de feu et est une forme familière de la nomenclature utilisée par les photographes de conflit.
Deux membres ont remporté un prix Pulitzer pour une de leur photographies. Greg Marinovich a remporté le Pulitzer for Spot News Photography en 1991 pour sa couverture de l'assassinat de Lindsaye Tshabalala en 1990.Kevin Carter a remporté le Pulitzer for Featured Photography en 1994 pour sa photographie de 1993 , d'un vautour qui semblait traqué un enfant affamé dans le sud du Soudan.










Un film
sur le groupe, dirigé par Steven Silver et interprété par Taylor Kitsch, Ryan Phillippe et Malin Akerman, a fait la première au Toronto International Film Festival en 2010.


Un film que j'ai pas pus m'empêcher de monter en vidéo...
Référence...Internet

5 commentaires:

  1. Ça doit être un bon film mais sûrement difficile à voir. J'aime la toune des "cranberries"(c'est ça?)

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    1. Oui, c'est "Zombie" das Cranberries (surnommés les "Atacas").

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    2. La version acoustique plus précisément

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  2. Ça a l'air intéressant comme film. Ton montage est bon (comme d'habitude). Je ne sais pas vous autres, mais moi, la photo du petit enfant avec le vautour, je trouve qu'elle a quelque chose de perturbant. C'est déchirant d'être témoin de la misère et de ne pouvoir rien faire. Maudite guerre! C'est tellement con!

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  3. Ce que je trouve encore plus perturbant c'est que tout en regardant le film , on est déchiré entre le sentiment de : Mais qu'essé vous faite la vous avez ben pas de cœur !! en regardant les photographes . Mais si ils n'avaient pas pris toutes ses photos ( et risquer leur vies par le fait même ) Peut-être n'aurions nous pas réalisé l’ampleur de la guerre ...

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